{r/romeo} missing your touch and the taste or your lips.

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i've always wondered what a love story looks like
when the love is gone and all is left is two human being lost.

Le soleil du Lundi éclairait doucement la chambre de Mykki Burgess. La jeune Kappa Kappa Tau était encore endormies lorsque la sonnerie de son portable résonne. Thanksgiving était arrivé. Et au lieu de retourner chez elle, Mykki avait une journée de pratique et de qualification au soir pour l'équipe de hockey sur gazon de Wallace Université. L'équipe composé uniquement de filles, jouaient souvent des coudes. Et alors qu'elle avait dans l'idée de se remettre en forme, l'opportunité de joindre une équipe sportive avait semblé être intéressante. En plus de lui offrir une mise en forme quotidienne, elle lui offrait un divertissement, se changer un peu la tête ne lui ferait pas de tord. Mykki avait toujours été énergique et sportive, ce n'était pas nouveau! Mais participer aux qualification voulait dire plus. Elle voulait gagner ces qualifications. Plus que quiconque qui se présentait pour regarder le nouveau Coach et ces abdominaux. Bêtes petites filles naïves qui roucoulait doucement son nom en gloussant. La Burgess roule les yeux une fois sur le terrain et roule les yeux. Son corps fraîchement lavé faisait ressortir sa peau plus foncé que celles des pimbêches sur le terrain. Son corps, mit en valeur dans un ensemble de sport; pantalon trois quart et camisole en dessous de laquelle se trouvait un haut sport vert, accentuant les lignes de son pantalon noir et vert. Ces chaussures bien lassés, Mykki réussi sans mal tous les entraînement. Peu à peu, les filles se font éliminées jusqu'à ce qu'il ne reste plus que douze joueuses. Heureuse de constater qu'elle en fait partie, la brunette sourit remarquant le regard du Coach. Restant sur le terrain, elles se pratiquent. Parmi l'équipe se trouve une autre soeur de Kappa Kappa Tau, pour le plus grand déplaisir de Mykki. Son regard fixé sur la rouquine, elle se fait tirer au sol par une blonde d'une autre confrérie. Jalouse, certainement. Mykki se retrouve en une fraction de seconde au sol, son poignant craquant. Bitch! You broke my wrist! How am I suppose to make the team with that now? Huh? Elle se lève prête à mettre son poing dans la tronche de la blonde, mais est retenu par la Kappa et le coach. Hey hey girls! Mykki, come to the nursery with me. Il la prend par le bras et aussitôt elle se défait de son emprise. I can do it on my own. I still can walk. Elle avance pour entrer dans l'Université, entendant sa soeur de KKT dire que la bitch se fera massacrer. Mykki avance jusqu'à l'infirmerie, voyant la porte ouvert elle met sa tête dans l’entrebâillement sans y voir quelqu'un. Hum, sorry, I sort of need help over here? A bitch broke my wrist. Emmergency! Stupide, si c'était une urgence ne devrait-elle pas aller à l'hôpital justement? Quand finalement une silhouette s'approche, son souffle se coupe et elle se met à rire. Unbelievable! You, Rye, are everywhere. Elle jette un regard désinvolte en direction de Romeo, comme si sa chance ne pouvait pas mieux tourné. La journée même de leur rupture, il y a déjà un an de cela, ils se retrouvent. La douleur de son poignet devient minime, alors que son coeur s'emballe, lui créant un long spasme de douleur. I should go. Dit-elle avant se lui tourner dos pour baisser la tête, sentant les larmes voulant revenir. Lorsque tout serait terminé, elle retournerait à chambre et s'autoriserait à pleurer, une nouvelle fois. Son apparence forte n'était en réalité qu'une façade au coeur brisé et déchiré qui se cache derrière. Son coeur, aimant de tout son être ce même homme qui d'après l'écriture sur la porte est un infirmier remplaçant. Accommodant pour Sana tient.

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i've always wondered what a love story looks like
when the love is gone and all is left is two human being lost.

Travailler pendant le week-end de Thanksgiving c’était vraiment un truc horrible. Toi qui avais réussi à le préserve jusque là … Mais cette année, tu n’étais pas certain que cela soit une mauvaise chose, cela te ferait penser à autre chose. Oui, cela t’éviterait de pense qu’un an plus tôt ton couple volait en éclat alors que les mots qu’avaient prononcé Mykki résonnaient encore dans ton esprit. Oui, une distraction … Tu avais donc pris tous les créneaux possibles à l’hôpital et tu avais du mal à croire que tu t’étais fait encore une fois coincé par ton prof pour te retrouver sur le campus en ce jour maudit. Bon, Mykki était certainement rentrée chez elle pour les fêtes mais bon … Tu n’avais pas regardé le calendrier quand il t’avait demandé de remplacer sa femme cette fois et tu t’étais donc fait coincer comme un débutant. Tu avais donc ouvert au milieu de la journée prêt à faire face à des intoxications alimentaires et des petits bobos bénins, on ne venait te voir que pour ça de toute manière. Enfin, d’après la secrétaire de l’établissement qui comptabilisait les billets d’absence, ceux de l’infirmerie se faisaient plus nombreux quand tu étais de garde. Cela te faisait lever les yeux au ciel. Il fut un temps où cela t’aurait plu, aujourd’hui tu étais toujours flatté mais tu ne pouvais pas envisager de toucher à une autre étudiante. A vraie dire tu avais du mal à envisager toucher quelqu’un ces derniers temps. Pour les gens qui te connaissaient tu t’étais relativement calmé depuis ta rupture avec Mykki. Plus parce que tu avais du mal à tourner la page qu’autre chose. La plupart des étudiants étant rentrés chez eux, tu n’allais pas avoir beaucoup de visites. Tu laissais la porte ouverte avant de te caller derrière le bureau pour faire de la paperasse pour l’hôpital avant de te lancer dans celle de l’université. Vous ne vous imaginez même pas le nombre de formulaires pour un saignement de nez que vous devez remplir … Mais enfin … Soudain, une voix retentit te sortant de ta tâche : « Hum, sorry, I sort of need help over here? A bitch broke my wrist. Emmergency! » Ton stylo tomba sur ta feuille parce que cette voix, tu la reconnaîtrais n’importe où. Tu serrais la mâchoire, cette journée était déjà merdique, tu avais du mal à voir comment cela allait pouvoir s’améliorer. Mais tu devais faire ton job, tu n’avais pas le choix. Et puis même si tu avais du mal à te l’avouer, une partie de toi était inquiet. Tu surgis donc de ton bureau et tu n’eus le temps de rien dire que déjà Mykki te sautait dessus : « Unbelievable! You, Rye, are everywhere. » Ce n’était pas de ta faute si ta sœur était sa colocataire ! Tu lui avais dit de ne pas rentrer dans une sororité, elle avait qu’à t’écouter ! Tu ne dis rien cependant, tu ne voulais pas aggraver ton cas. « I should go. » Non, elle ne devrait pas partir, pas si elle a réellement le poignet cassé. Tu ne pourras pas faire grand chose pour elle dans cette petite infirmerie mais il y a tout de même un équipement de base, les sportifs de hauts niveaux en ont besoin ici. Tu avais de quoi faire une radio et des atèles, s’il fallait un plâtre il allait falloir la conduire à l’hôpital. Alors qu’elle se tournait pour partir, tu retrouvais ta voix : « Mykki wait ! » Tu pris bien soin d’attraper le poignet qui n’était pas gonflé avant de dire : « I’m just doing a favor for one of my teachers. Just …. You’re hurt, I just cannot let you leave like that. » Pas cette fois … Aurais-tu dû rajouter mais c’était certainement trop tard pour cela maintenant. « I know you want nothing to do with me and you stand my sister in her worst moments so I get it but let me look at it. » Dis-tu en montrant son poignet. Même si c’était elle qui t’avait trompée, même si ton cœur était brisé, tu ne pouvais t’empêcher de vouloir son bien. Tu allais te prendre un vent certainement mais qui ne tente rien n’a rien n’est-ce pas ?

La douleur résonnait à l'intérieur de ces tripes, son sang se solidifiant dans ces veines, son coeur pompant plus qu'il ne le devrait. Si son poignet devrait lui faire terriblement mal et lui procurer un inconfort, la seule présence de ce garçon, ou plutôt de cet homme, lui procure une douce agonie souffrante. Elle réalise sa tenue de sport et baisse mentalement les bras. La situation ne pourrait pas être pire, ou mieux. Comment devait-elle garder son calme et ne pas sortir de ces gonds en présence de la personne qu'elle aimait tant? Parce que Mykki ne savait plus si l'amour qu'elle ressentait pour lui aujourd'hui, était encore présente. Mais le mal dans sa poitrine, strident et criant, lui rappelait que jamais elle n'avait cessé d'éprouver ces sentiments pour lui. Romeo avait quelque peu changer en une année. Le look d'étudiant remplacé par celui d'un homme sérieux, résident dans un hôpital; et un très bon d'après ce qu'elle avait entendu. Elle n'avait pas chercher à aller pomper des informations à sa soeur, se serait déplacé. La petite barbe de quelques jours la fait fondre doucement mais sûrement. Mais étant en parfait contrôle de son cerveau, la brune roule les yeux pour chassés ces vilaines pensés de sa tête. Ces pieds prêts à partir pour trouver un transport pour se rendre à l'hôpital. Mykki wait ! Sa voix résonne pour la première fois, étant jusqu'à maintenant muet. Sa main attrape son poignet, et par chance, celui qui est en bon état. Son regard le fixe avec vivacité, avec furie. Elle ne veut pas rester plus longtemps, elle ne veut surtout pas avoir une excuse bon marché, comme celles que Sana pourrait sortir. I’m just doing a favor for one of my teachers. Just … You’re hurt, I just cannot let you leave like that. Un soupir, long de signification. Ce n'était pas l'excuse la plus incroyable du monde, mais comment était-elle censé savoir ce qu'elle avait; si elle devait aller à l'hôpital? Bien qu'elle se doutait devoir arrêter le sport pour quelques jours, peut-être pourrait-elle continuer l'équipe, qui pouvait le prédire après tout. Elle continue de l'observer, n'étant toujours pas rassuré. I know you want nothing to do with me and you stand my sister in her worst moments so I get it but let me look at it. Ses lèvres forment une moue parfaite et elle secoue la tête, se défaisant de sa main qui tenait son poignet. Elle regarde autour d'elle et retourne son regard vers le sien. Fine! Dit-elle, en avançant pour lui montrer son poignet en grimaçant un peu, sans trop montrer sa douleur. Il n'avait pas le droit de voir ce qu'elle ressentait. Pas après l'avoir trompé avec cette fille idiote à la couleur de cheveux déprimante. La vision d'horreur de cette fille nu avec la couverture contre elle lui donne envie de vomir. But just so you know, I still have one hand working perfectly fine. And I'm sure as hell she can slap you really good. Elle lui jette un regard désinvolte, furieuse des événements antérieurs et prête à lui coller sa main au visage si jamais il osait faire le moindre geste déplacé. And by the way, I deserve a fucking oscar for still being there for her. And she should win one for making my life that... energic and chaotic. Elle pousse un long soupir. Effectivement, Sana méritait tous les oscars de meilleures actrices. Jamais Mykki ne manquait une occasion de lui proposer de devenir actrice; elle en ferait une incroyable et aucun doute, elle raflerait tous les prix possible. Not that I care, but, is your residence going well? Elle le regarde examiné son poignet et comprend un peu mieux la file d'étudiante féminine venant se faire examiner par l'infirmier/stagiaire. Ok you're right. I can't do this. I just can't. Mykki reprend son poignet de ces mains et recule tournant la tête pour regarder ailleurs. I can't just come here and see you. I can't pretend this is okay. Because hell, it's everything but ok. You should never have accepted that offer. How dare you? Elle s'arrête pour recaler ces sentiments, reprenant de marbres son discours. It hurt, Romeo. And right now it feels like you're laughing right at my face by being here. Actually, I should call Sana and ask her to come pick me to go to the hospital. Where you won't be. Elle cherche son portable sur elle mais ne le trouve pas, puisqu'il était toujours dans le vestiaire. Damn it, I don't have it. Mykki râle, en regardant à nouveau Romeo, ayant envie de s'approcher pour à nouveau pouvoir toucher à sa peau, pouvoir poser ces lèvres contre les siennes. Mais elle devait se faire à l'idée qu'il n'était plus sien. Pas après ce qu'il avait fait. Pas après l'avoir trompé.