fire rides.

NOM, PRÉNOMS : fowler, cal. - ÂGE ET DATE DE NAISS. : vingt-trois ans, vingt-deux mars. - NATIONALITÉ ET LIEU DE NAISS. : américaine, chicago. - ORIGINE, LANGUES PARLÉES : américaines de par son père, du sang polonais coule cependant dans ses veines, ô doux héritage maternel. cal parle l'anglais (langue maternelle), et polonais. bilingue dès son plus jeune âge pour avoir longtemps pratiqué avec sa mère, aujourd'hui, il lui est plus difficile de tenir une discussion. les mots lui manquent dans cette langue qu'il parlait pourtant si bien durant son enfance.   - À WYMOND/WALLACE UNIVERSITY DEPUIS : à wywond depuis toujours et à l'université depuis ses dix-huit ans. - BOULOT OU ÉTUDES + REVENU :cal suit un cursus en art général. en ce qui concerne l'argent, le patriarche assure ses arrières. - ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. - STATUT MATRIMONIAL : en couple, sans réellement le vouloir cependant. tout est trop compliqué en fin de compte. -NB D'ENFANTS : pas foutu de s'occuper correctement de lui-même, alors d'un gosse, impossible. - TRAITS DE CARACTÈRE : passionné, loquace, franc, à l'écoute, électron libre, nonchalant, sarcastique, lunatique, impulsif, distant, désinvolte. - GROUPE : 6x #1.  - CREDIT :  tumblr.

THEY'RE ALL FALLING DOWN, DOWN. YOU BELONG TO ME NOW
Cal, il a perdu sa mère lors de sa première année à l’université. A réussi à l’accepter assez rapidement en comparaison de sa sœur, malgré le vide maternel qui sévit dans son cœur aujourd’hui. + Depuis la mort de sa mère, le détachement de sa jumelle et le départ de Sora, inconsciemment, Cal a beaucoup de mal à s’attacher à une femme. Il se contente de passer la nuit avec certaines et de ne plus donner signe de vie. Au fond, il est persuadé qu’à aimer l’une d’entre elle, la vie serait capable de le lui enlever. Alors Cal fout tout en l’air, Cal blesse les filles sans réellement le vouloir. Il se protège simplement. + Cal est passionné d’art depuis qu’il ait l’âge de s’y intéresser. Il dessine beaucoup. Il griffonne un peu partout, noircit trop rapidement les pages de ces centaines de carnets à dessins qu’il accumule depuis son plus jeune âge. Des visages, des paysages, il dessine ce qui lui vient à l’esprit. Depuis un moment, il se passionne pour le graphisme et espère intégrer une boite de graphisme ou de publicité. + aussi étonnant que celui puisse paraître, il n’a jamais été en réel conflit avec son père et a toujours entretenu de bonnes relations avec lui quand ses potes fuguaient fréquemment de chez eux. + Cal, c'est la cancéreuse entre les lèvres, matin, midi, soir, l'éternel sourire en coin. Cal c'est aussi l'utilisation du sarcasme en masse, c'est aimer jouer, le tout pour le tout.

RUN AND SCREAM FOR YOUR LIFE, THE DEVIL IS GONNA GET'CHA

Il se souvient Cal. Il se souvient des sirènes d’ambulances incessantes. Des lumières aveuglantes dans la nuit noire, du brancard et des docteurs entrant chez lui avec précipitation. Il se souvient du visage figé de sa mère emportée par les ambulanciers, des sanglots étouffés de Cami, du visage blanchâtre et horrifié de son patriarche. Et pourtant tout lui revient par bribe, au ralenti, comme s’il visionnait un mauvais film. Le film de sa vie. Sa mère est morte quelques minutes après, dans cette ambulance de la mort. Et ce fût le début d’un nouveau quotidien. La fin de tout.


Cami était son repère. Cami était son phare dans la pénombre, sa lumière dans le brouillard. Cami était la personne en laquelle il avait le plus confiance, Cal. Celle qu’il pouvait écouter parler des heures de son nouveau rouge à lèvres. Celle qu’il réconfortait, celle avec qui il riait gorge déployée. Cami, elle était là pour Cal, comme Cal était présent pour Cami. Cami c’est son âme sœur, et peu importait les critiques incessantes, les messes basses dans leur dos. C’est celle qu’il aimerait pour toujours. Cami, c’était sa complicité. Les seuls regards qui en disaient long. Les mots n’avaient pas même besoin de passer la barrière de leurs lèvres pour qu’ils se comprennent. Mais Cami est devenu une inconnue à ses yeux depuis la mort de leur mère. Cami, elle s’est renfermée sur elle-même, a volontairement mis de la distance entre eux, laissant leur lien se briser peu à peu, le gouffre s’ouvrir un peu plus. Elle avait les yeux vides Cami, vides de cette étincelle qui la caractérisait autrefois, elle et ses yeux lagons. Les mêmes que les siens. Elle s’est droguée Cami, a laissé de côté ses nouvelles amies à l’université, s’est isolée. Elle s’est isolée de Cal, l’a laissé partir. Et il la regardait s’envoler vers la déchéance, impuissant. Il a bien essayé de l’en relever, mais Cami elle n’a jamais voulu de son aide. Et même si aujourd’hui, la jolie brune a réussi à s’élever, à respirer de nouveau, Cami et Cal, ça ne veut plus rien dire. Ça n’a plus réellement de significations à leurs yeux. Ils se sont éloignés et n’ont jamais réussi à rétablir cette complicité forte qu’ils avaient auparavant. Cami, c’est sa sœur jumelle, mais ils se demandent encore s’ils peuvent se caractériser en tant que tel. Ils s’aiment, mais n’arrivent à se le dire, n’arrive à renouer. Oui, ils se demandent s’ils sont perdus à jamais.

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Ils se sont détestés, se sont aimés en secret, se sont tournés autour, se sont battus verbalement. Les années passent, s’écoulent, sans qu’aucun des deux ne s’avoue aimer l’autre. Sora et Cal. Cal et Sora. C’est une histoire compliquée. L’un avoue ce qu’il ressent quand l’autre est heureux avec quelqu’un, se rejettent, reviennent quand il est trop tard. Et vice versa. Cal et Sora, c’est jamais le bon moment. ils se manquent de peu. Et puis Sora est partie à la fin de sa deuxième année à l’université pour partir étudier en France. Cal a tout fait pour la rattraper, mais Sora, elle est partie sans se retourner. Et elle l’a laissé.

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Cal a fait scandale. Le fils du nouveau sénateur représentant du Wisconsin au Congrès des Etats-Unis faisant la une des journaux people, un joint entre les lèvres, considéré comme le fils drogué et indigne de la famille Fowler alors qu’il n’en était rien. C’était bien la première fois qu’il voyait son visage dans un de ses torchons. Mais Cal s’en foutait. Cal s’en foutait de ce qu’on pouvait bien penser de lui, de ses actes. Cal il est blessé, lacéré de l’intérieur. Les souvenirs de la mort de sa mère, le détachement de sa sœur, le départ de Sora. Cal, il se sent vide. Cal il est vide. Cal il a changé, s’est éloigné, a trouvé refuge dans la solitude, le détachement. Alors le regard des autres, il n’en a que faire Cal. Mais en aucun cas il ne veut porter préjudice au patriarche et à sa nouvelle fonction. Sa famille en est suffisamment touchée. Alors Cal, il a fait ce que son père lui a dit de faire. Astrid a été un bon moyen de redorer le blason. Astrid, la hit-girl londonienne venue étudier à l’université Wallace, le mannequin comme il faut, la belle-fille que chaque parent rêve de voir au bras de son gosse. Il a passé une soirée et une nuit en sa compagnie, acte qui n’est pas passé inaperçu auprès de certains magazines. Cal n’a plus voulu lui donner de nouvelles, mais son père l’a supplié de continuer à la fréquenter. Pour faire bien, disait-il et lui donner une nouvelle image dans la presse. Alors Cal il a fait ce qu’on lui demandait. Cal et Astrid sont ensemble. Pour le meilleur et pour le pire. Un couple intéressé. Pourtant, ils se sont attachés l’un à l’autre Cal et Astrid mais Cal est incapable de faire face à ça. Il a bien trop souffert pour s’attacher. Ils se trompent sans vergogne mais s’entendent plutôt bien. N’ont pas de gestes tendres l’un pour l’autre. Cal ne montre pas ses sentiments. Cal c’est une coquille vide.  Mais ils font avec, ont l’air de s’accommoder de tout cela. Mais jusqu’à quand. Et le retour de Sora au Wisconsin a achevé de semer le doute dans l’esprit du brun.

PRETTY EVIL, THOSE SCREAM QUEENS
Pseudo/Prénom : flightless bird, Manon.
Âge : 21yo.
Pays : France.
Avatar : Will Higginson.
Smiley préféré :     (trop difficile de faire un choix).
Commentaire/autre : Expelliarmus.